Les pratiques sportives diminuent les amas de graisse, oui, mais pas que ! Faire du sport modérément améliore aussi le système immunitaire. Mais pour percevoir un impact positif sur l’organisme, c’est essentiel de l’associer à d’autres éléments essentiels tels qu’un bon sommeil, une alimentation saine et un poids corporel suffisant. Voici quelques éléments clés qui prouvent la relation entre le sport et les défenses de l’organisme.
Le sport et le système immunitaire
Les cellules de défenses, les anticorps et les globules blancs, circulent plus rapidement dans l’organisme lors des activités physiques. Grâce à l’échauffement et à l’augmentation de la température corporelle, la croissance des bactéries est réduite, ce qui peut aider le système immunitaire à mieux les combattre. À force d’être activer régulièrement, les cellules protectrices, en augmentant la vitesse de la circulation sanguine et l’oxygénation, combattent aisément les envahisseurs extérieurs de types bactéries et virus. Cependant, cette modification significative est moins évidente durant les éventuelles infections.
L’exercice physique et ces avantages
Les avantages des pratiques sportives sont à l’heure actuelle bien documentés et leurs effets bien montrés. Que ce soit sur le cerveau, le poids, la peau, les os ou les diverses maladies chroniques, les études scientifiques ne cessent de démontrer les bienfaits. Et ce, bien pendant la phase d’activité que durant la phase de récupération.
La crise sanitaire a convaincu beaucoup de personnes de l’importance de la pratique régulière d’une activité sportive. Pendant cette période, on a beaucoup entendu les arguments concernant le sport pour se maintenir en bonne forme. Tout d’abord, vous devez savoir que l’influence du sport sur le système immunitaire est à deux sens. Une activité sportive modérée réduit le risque d’être contaminé par une infection par rapport à une personne à faible fréquence d’activité physique. Inversement, un sport d’endurance qui n’est pas en raccord avec l’état physique peut affaiblir temporairement la réaction immunitaire. Ce qui rend les plus vulnérables aux infections.
Une bonne fréquence d’activité sportive
Comme le recommande l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), une pratique sportive de 75 à 100 minutes par semaine, soit 3 à 5 séances de 50 à 60 minutes, est réellement essentielle. Cette requête souligne en même temps l’utilité du renforcement musculaire d’au moins deux séances par semaine dans l’idéal. De ce fait, si le but est d’être plus actif(ve), l’activité que vous pratiquez doit résonner et correspondre à votre mode de vie. Le choix d’activités physiques que vous pouvez pratiquer est large et il y en a pour tous les goûts. Peu importe celui pour lequel vous optez, il jouera forcément un rôle dans l’augmentation de votre niveau d’énergie et ainsi votre bien-être en général. Il convient juste de prendre les bonnes habitudes.
Une activité sportive bien dosée procure des effets immunostimulants et protecteurs pour prévenir les infections microbiennes. Or, si vous avez l’habitude de pratiquer des types d’activités intenses et prolongés, il ne s’agit pas d’arrêter, mais plutôt d’adapter vos entraînements à d’autres facteurs tels que l’alimentation et le sommeil. Notons aussi que le fait que bouger n’empêche pas d’attraper certains virus si vous y êtes exposés. Une bonne condition physique sera cependant une aide qui limite les symptômes et accélère le processus de guérison.
