Le stress sportif apparaît généralement lorsque vous voulez participer à un événement sportif. Dès le premier jour, vous vous posez une série de questions sur vos compétences et votre réussite. Ce stress peut conduire à l’échec à tout moment. Pour cela, il est bon de se préparer mentalement afin de bien gérer le stress. Voici 7 conseils que vous pouvez appliquer pour y parvenir.
Bien se préparer
Avant une compétition, une bonne préparation permet à un sportif de se déstresser. Il n’y a rien de pire qu’une soudaine poussée de stress parce que vous ne trouvez pas votre paire de baskets ou que vous oubliez votre serviette. Idem pour le programme au quotidien, déterminez votre moment de pause, le temps de lecture et le moment de repas. Le but est simple : établir une planification permettant d’anéantir le doute et d’être pleinement focus sur votre préparation et votre compétition.
S’isoler
Parfois, l’entourage ou peut-être source de stress avant une compétition. N’hésitez pas à prendre du temps pour vous, afin de diminuer l’angoisse. Concentrez-vous sur d’autres activités au lieu de vous rendre chez la salle de sport : faire une balade au grand air, écouter de la musique, lire des livres, regarder des films, etc. Détendez-vous !
Relativiser
Après tout, il s’agit du jeu, n’est-ce pas ? Le résultat de cette compétition changera-t-elle finalement le cours de votre vie ? Ne renoncez pas à vos objectifs et à vos ambitions mais rappelez-vous que nous sommes des amateurs et que l’échéance soortive doit être envisagée avec plaisir et motivation. Votre implication, votre engagement et votre participation sont plus important que la victoire. Ils permettront de révéler vos valeurs sportives, et peut être des ressources insoupçonnées.
Se concentrer et pratiquer la respiration profonde
Immergez-vous dans le contexte, l’environnement et le lieu avant le début de l’échauffement et replongez-vous dans la compétition. Pour l’échauffement, établissez une routine, par exemple des mouvements et des mots qui font partie de votre programme d’échauffement et qui sont toujours identiques, dont vous savez qu’ils seront avantageux pour optimiser votre performance sportive.
Vous pouvez aussi vous concentrer sur votre respiration, afin de vous placer dans une bulle. Pour pratiquer la respiration profonde, installez-vous confortablement, allongé ou assis, fermez les yeux, mettez vos mains sur votre ventre et inspirez lentement par le nez, bouche fermée, laissez votre ventre se gonfler. Une fois que vous avez atteint l’inspiration maximale, figez pendant 3 à 4 secondes avant d’expirer doucement par la bouche et d’aspirer l’estomac. Répétez l’exercice 3 ou 4 fois.
Se relaxer
La veille d’une compétition est toujours agitée et pas toujours relaxante. Si le calendrier prévu des compétitions le permet, quelques minutes de sieste le jour J contribueront à assainir votre esprit. En rechargeant vos batteries, vous augmenterez plutôt votre confiance en vous. Vous ne parvenez pas à dormir ? Pas de problème, une séance de relaxation les yeux fermés peut être tout aussi efficace. Ensuite, concentrez-vous simplement sur vous-même en vous projetant dans un endroit confortable.
Booster la confiance en soi
Visualisez, respirez, répétez les phrases clés et ancrez la pensée positive : « mes points forts sont… » « La dernière compétition que j’ai faite était vraiment bien », etc…. Cela vous permet de gérer le stress et d’augmenter votre niveau de confiance en vous.
L’ancrage positif
L’ancrage est une technique visant à moduler le cerveau pour ressentir l’émotion par des gestes simples. À chaque fois que ce geste est effectué, le cerveau déclenche une émotion qui lui est naturellement associée.
En guise de conclusion, quelques conseils permettent à un sportif d’anéantir la crise d’angoisse et de se concentrer dans la compétition sportive : la préparation, la relaxation, la confiance en soi et bien d’autres. À vous maintenant de pratiquer et de tester toutes les méthodes mentionnées ci-dessous, pour trouver laquelle vous permet d’être rassuré et de maximiser vos performances.
