Le muscle masséter a comme principale mission l’élévation de la mandibule contre le maxillaire afin d’accompagner la mastication. Ce muscle masticateur élève la mandibule et ferme la bouche. Il s’occupe également de l’allongement de la mandibule, y compris les gestes latéraux. Il rend esthétique le minois. D’ailleurs, ce muscle contribue à la mission de la parole en travaillant sur la conception du langage articulé. Il y a abaissement de la mandibule quand les muscles masséters, ptéroïdiens, temporaux et médiaux se relâchent.
Les pathologies des deltoïdes
Dans cette partie, retrouvez les diverses pathologies des deltoïdes comme la contracture, les désinsertions ou l’atrophie.
La contracture
La contracture du deltoïde représente une contraction involontaire et pérenne du muscle. Elle peut sembler post-traumatiques, idiopathique ou congénitale. D’ailleurs, le deltoïde représente un site classique pour l’injection intramusculaire de médocs. En situation d’injections redondantes, le muscle peut aussi endurer des contractures.
Les désinsertions
Dans de cas exceptionnels, les deltoides peuvent endurer une désinsertion ou une rupture du point d’attache entre le muscle et l’os. Celle-ci peut avoir de nombreuses sources :
- Des lésions isolées ;
- Des lésions alliées à une rupture massive de la coiffe des rotateurs (une catégorie de quatre tendons) ;
- Une rupture traumatique pendant des accidents de la voie publique. Il existe aussi des traumatismes pendant des exercices de musculation ou engendrés par la ceinture de sécurité ;
- Une complexité postopératoire suite à une chirurgie de l’épaule, particulièrement suite à une acromioplastie. Il s’agit du rabotage chirurgical de l’acromion.
L’atrophie
L’atrophie du deltoïde peut survenir :
- Pendant un syndrome de Turner et Parsonage. C’est une inflammation des nerfs vérifiant les muscles des bras et des épaules ;
- Après une lésion traumatique du nerf circonflexe pendant une luxation de l’épaule ou une fracture de l’humérus ;
- Durant un syndrome de l’espace quadrilatère (orifice anatomique de l’épaule) où se dirige le nerf auxiliaire. Il s’agit d’une souffrance chronique du nerf circonflexe.
Les pathologies rattachées à l’omoplate
Retrouvez des exemples de ces pathologies comme la capsulite rétractile, la fracture ou encore la scapula alata !
La capsulite rétractile
La capsulite rétractile représente une complication envisageable d’une tendinopathie de la coiffe des rotateurs. Elle apparaît lorsque cette dernière n’est pas traitée. C’est l’inflammation de la capsule articulaire, l’enveloppe élastique et fibreuse qui enveloppe l’articulation.
La capsulite rétractile se manifeste particulièrement quand vous échappez à trop de mouvements du bras.
La fracture
Les fractures de la scapula semblent exceptionnelles. Elles se manifestent en cas de chocs brusques. La fracture peut toucher de nombreuses zones de l’omoplate ou une spécifiquement. Le traitement se réalise habituellement par immobilisation durant de nombreuses semaines. Une fracture de la cavité glénoïde requiert toutefois un acte chirurgical. Ce dernier favorise le rétablissement de l’aire articulaire en relation avec l’humérus.
La scapula alata
La « wigging scapula » ou scapula alata, représente un décollement de la scapula. Une déformation au niveau du dos peut être constatée, surtout quand le patient appuie sur le mur avec ses mains. Ce décollement arrive au moment de la paralysie du muscle grand dentelé. Ce dernier est habituellement rattaché à une lésion du nerf thoracique long qui insère ce muscle dans sa portion thoracique.
Le muscle grand dentelé ne peut ainsi plus assurer sa mission initiale. Cela consiste à plaquer la scapula contre le thorax. La paralysie se manifeste en cas d’étirement ou de compression du nerf après un geste redondant de l’épaule. Cette pathologie survient en cas de port de charges lourdes ou d’activité sportive, à titre d’exemple.
Les pathologies rattachées au muscle trapèze
Des dorsalgies et des cervicalgies peuvent être rattachées aux muscles trapèzes. Ce sont des douleurs se trouvant chacune au niveau du dos et du cou.
Les douleurs musculaires dépourvues de lésions
La crampe représente une contraction douloureuse, involontaire et éphémère d’un muscle comme le muscle trapeze.
La contracture constitue une contraction douloureuse, involontaire et pérenne d’un muscle comme le muscle trapèze.
Les lésions musculaires
Le muscle trapèze peut endurer des lésions musculaires, suivies de souffrances. L’élongation constitue la première phase de la lésion musculaire. C’est un étirement du muscle engendré par des microdéchirures. Il finit par une désorganisation musculaire. Le claquage représente la deuxième phase de la lésion musculaire, à savoir une rupture des fibres musculaires.
La rupture constitue la dernière phase de la lésion musculaire, c’est-à-dire une rupture entière d’un muscle.
Douleurs musculaires du muscle petit rond sans lésions
La crampe se manifeste quelquefois au niveau du muscle petit rond. Il s’agit d’une contraction douloureuse, éphémère et involontaire d’un muscle. La contracture apparaît quelquefois au niveau du muscle petit rond. C’est une contraction douloureuse, pérenne et involontaire d’un muscle.
Le muscle petit rond peut endurer des lésions musculaires, suivies de souffrances. L’élongation représente la première phase de la lésion musculaire. C’est un étirement du muscle engendré par des micro déchirures et finit par une désorganisation musculaire. Le claquage constitue la deuxième phase. Il s’agit d’une rupture des fibres des muscles.
La rupture représente la dernière phase. Il s’agit d’une rupture entière d’un muscle. Les tendinopathies décrivent la totalité des pathologies pouvant arriver au niveau des tendons des muscles de la coiffe des rotateurs. Elles concernent particulièrement ceux alliés au muscle petit rond. Les motifs de ces pathologies peuvent être diversifiés.
La source peut être intrinsèque accompagnée de prédispositions génétiques. Elle peut aussi être extrinsèque, avec à titre d’exemple, de mauvaises positions au moment de l’exercice sportif. La tendinite représente une irritation des tendons.
Les pathologies de la clavicule
Retrouvez les diverses pathologies de la clavicule comme la fracture, l’hyperostose sterno-costo-claviculaire, la luxation, les tumeurs.
La fracture de la clavicule
La position artificielle de la clavicule en crée un des sites de fractures les plus courants (10 % des fractures). Ces dernières se produisent spécifiquement chez le jeune adulte et l’enfant. Dans la plupart des situations (75 %), la fracture se produit en son tiers moyen. Elle apparaît habituellement au moment d’un contact sportif brusque (ex : rugby) ou d’une chute sur l’épaule.
L’hyperostose sterno-costo-claviculaire
Il s’agit d’une pathologie exceptionnelle et de raison inconnue. Elle se manifeste par une condensation et une hypertrophie du sternum, des premières côtes et des clavicules. Elle atteint de préférence l’homme d’âge mûr. Le principal symptôme se manifeste par un gonflement douloureux au niveau du sternum.
La luxation
L’acromio-claviculaire représente un déboitement de l’articulation qui lie la clavicule à l’acromion. C’est une pathologie courante qui arrive habituellement dans les accidents de la route et les accidents de sport.
La sterno-claviculaire constitue un déboitement de l’articulation entre le sternum et la clavicule. Elle s’avère quatre fois moins courante que l’acromio-claviculaire.
Bref, le muscle masséter et ses parties environnantes peuvent subir différents types de pathologies. Pour surmonter ce genre de souci, des traitements adaptés assistés par des médecins spécialisés sont à la disposition des patients.